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Renouvelé :: Biographies des savants

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  • Renouvelé :: Biographies des savants

    [1]
    Cheikh el Islam Mohamed Bno Abdul-Wahhab


    L'imam, le cheikh Muhammad, fils de Abdul-Wahab, fils de Sulayman, fils de Ali,
    fils de Muhammad (...) est un descendant de la tribue des Banu Tamim.
    Il est né dans le village de Uyaynah en l'an 1115 de l'Hégire (1703 G.), dans une famille de gens de religion, de science et d'honneur. Son père était un grand savant et son grand-père Sulayman ibn Ali était le savant de Najd de son époque.

    Muhammad apprit le Coran par coeur avant l'âge de dix ans, et il étudia le fiqh hanbalite. Il était l'objet de l'admiration de son père, vue sa mémoire impressionnante.

    Il consultait souvent les livres d'exégèse du Coran (Tafsir) et de Hadith. Il fournissait des efforts pour apprendre la science nuit et jour.

    Il entreprit de voyager pour acquérir la science tout d'abord dans la région de Najd même, puis vers Mekkah où il étudia avec les savants. Il continua son périple vers Medinah, où il étudia notamment avec le cheikh Abdullah ibn Ibrahim Al-Shammari, et son fils Ibrahim Al-Shammari, auteur du livre Al'Adhb ul-Fa'idh fi-Sharh Alfiyyat il-Fara'idh, qui lui apprit les règles de l'héritage. Ce dernier lui fit rencontrer le cheikh du Hadith, Muhammad Hayat As-Sindi, avec qui il apprit les sciences du Hadith et ses rapporteurs (Ilm ur-Rijal), et qui lui décerna l'autorisation d'enseigner les livres principaux tels que le Sahih Al-Bukhari, Sahih Muslim,...

    Doté d'une grande intelligence, il consacra sa vie à étudier, à faire des recherches et à écrire. Il retenait avec une grande facilité tout ce qu'il lisait et ne se lassait jamais d'écrire. Il a notamment recopié (rappellons que tout ceci se passait avant l'avènement de l'imprimerie en Arabie) de nombreux ouvrages d'Ibn Taymiyya et de son élève, Ibn Qayyim al-Jawziyyah, qu'Allah leur fasse miséricorde, et l'on trouve ces précieux manuscrits conservés dans les musées.

    A la mort de son père, il commenca à prêcher ouvertement le message essentiel de l'islam, at-Tawhid, à la manière des Pieux Prédécesseurs, as-Salafs. Il denonçait le polythéisme, ash-Shirk, sous toutes ses formes, les innovations, al-Bida', des sectaristes et les choses détestables, al-Munkar.

    A cette époque, les gens de la péninsule arabique étaient revenus à toutes sortes de pratiques idolêtres, ash-Shirk, et a fortiori, ne se conformaient que peu aux rituels, al-Ahkam, de l'islam. Le cheikh les incita à retourner à l'islam des origines, celui du Prophète et des Compagnons.

    Il retourna vers sa terre d'origine où il se heurta tout d'abord à des problèmes avec les notables, puis conclut une alliance avec le prince Muhammad Ibn Sa'ud, prince de Dir'iyya, village proche de Riyadh.

    Ensemble, grâce à Allah, puis grâce à la Da'wah du cheikh et l'autorité et la puissance du prince, ils réalisèrent l'unité des tribues arabes, sous la bannière du Tawhid.

    Lorsqu'ils eurent épuisé tous les moyens pacifiques, et que certaines tribues arabes faisaient encore obstacle à la propagation de la parole d'Allah, ils leur déclarèrent la guerre. Celle-ci prit fin en 1773 avec la conquête de Riyadh.

    Le cheikh se consacra ensuite à l'enseignement et à l'écriture.

    Son célèbre Kitab ut Tawhid, Le Livre de l’Unicité, qu’il avait écrit à Huraymalah trente ans plus tôt, était enseigné partout.



    Il écrivit de nombreux essais et livres dont :

    1- Le résumé du Sahîh Al-Bukhârî ;

    2- Kitâb ut-Tawhîd (Le Livre de l’Unicité) ;

    3- Kashf ush-Shubuhât fit-Tawhîd (L’élucidation des Equivoques Concernant le Tawhîd)

    4- Kitâb ul-Kabâ’ir (le Livre des Péchés Graves) ;

    5- Arba'a Qawâ'id fit-Tawhîd (Quatre Règles Concernant l’Unicité) ;

    6- Le résumé de Zâd ul-Ma'âd (d’Ibn ul-Qayyim) ;

    7- Istinbât ul-Qur’ân (Les Déductions faites à partir du Coran) ;

    8- Ahâdîth ul-Fitan (les Traditions Concernant les Troubles) ;

    9- Mukhtasar us-Sîrat in-Nabawîyya (le Résumé de la Biographie du Prophète) ;

    10- Fadhâ’il ul-Islâm (Les Mérites de l’Islam) ;

    11- Usûl ul-‘Imân (Les Fondements de la Foi) ;

    12- Tafsîr ul-Qur’ân (Le Commentaire du Coran) ;

    13- Le résumé de al-Insâf ;

    14- Le résumé de al-Sharh ul-Kabîr ;

    15- Massâ’il ul-Jâhilîyya (Les Questions Concernant les Pratiques de la Période Anté-Islamique) ;

    16- Mufîd ul-Mustafîd ;

    17- Thalâthat ul-Usûl (les Trois Principes Fondamentaux) ;

    18- Adâb ul-Mashyi ilâ-s-Salât (La Façon dont il Convient de se Rendre à la Prière).



    Avant de mourir, en 1206 de l’hégire (1792 G.), le cheikh Muhammad ibn 'Abdil-Wahhâb verra le Tawhîd régner sur la péninsule arabique et ses environs, les prêcheurs se multiplier, et les drapeaux des partisans du polythéisme (Shirk) et des innovateurs tomber.

    Ses enfants 'Abdullah, 'Alî, Hussayn et Ibrâhîm lui succédèrent dans la prêche (Da'wah) et ses descendants (la famille &Acirc;l Cheikh), hommes de science et de piété, continuent encore aujourd’hui à jouer un rôle capital dans la vie religieuse de leur pays, occupant les rangs de ministre des Affaires Religieuses, Mufti et juges dans les tribunaux islamiques.

    Nous demandons à Allah de préserver les bénéfices de cette Da'wah, de nous guider et de faire de nous des guides sur Sa voie, car c’est Lui le Garant du Succès, le Tout-Puissant.





    Tiré du Résumé du Commentaire du LIVRE DE L'UNICITE intitulé "LE COMBLE DES SOUHAITS"
    Commentaire de CHEIKH SALIH AL-CHEIKH et résumé de MUHAMMAD AL-QAHTANI.
    http://alminhadj.fr/modules/news/article.php?storyid=14

  • #2
    [2]
    Biographie de Cheikh Muhammed Nacer Eddine al Albani
    Il est né en 1914 dans la ville de Ouchqou Dara qui était à l'époque la capitale d'Albanie, dans une famille pauvre mais pratiquante et connue pour les connaissances religieuses. Son père al Haj Nouh fut diplômé des instituts religieux de la capitale Othomane " Istanbul ", puis il est revenu chez lui pour enseigner et éduquer les gens.

    Lorsque le roi "Ahmed Zogho " prit le pouvoir en Albanie, et décida de rendre le pays laïque imitant l'occident dans tous les domaines de la vie, le père prit peur et pressentit que le mal s'accroîtra. Alors il prit la décision d'émigrer en Syrie (Cham) pour sauvegarder sa religion et par crainte pour ses enfants des troubles. Son choix fut la ville de Damas dont il avait auparavant prit connaissance lors de son voyage pour le pèlerinage et ce qui le poussa à choisir cette ville ce sont les Hadiths rapportés sur les mérites de cette région et les invocations faites par le Messager .


    Le grand savant al Albany a terminé ses études primaires dans l'école de " Jam'yat al Is'af al Kheiry " à Damas avec un niveau élevé. Du fait de la mauvaise idée que se faisait son père sur les écoles publiques du point de vue religieux, il décida de ne plus le laisser aller à l'école, et lui prépara un programme structuré. De ce programme, il apprit le Coran avec le Tajwid, la grammaire et le Fiqh d'après le Madh-hab Hanafi. De même que des amis à son père ont participé à son enseignement des sciences religieuses et arabes comme on verra plus loin.

    Il apprit de son père la réparation des montres jusqu'à devenir un des meilleurs réparateurs de la ville, et il commença à gagner sa vie de ce métier. Son apprentissage de ce métier et son émigration vers la Syrie (Cham) furent deux grands bienfaits d'Allah pour lui, et pour cela son père a un grand mérite car le métier de réparateur de montres lui permit d'avoir un grand temps libre pour pouvoir lire et étudier les livres, et l'émigration vers Damas lui permit de connaître la langue arabe et les sciences religieuses depuis leurs sources.


    Vers la science du Hadith et l'importance qu'il lui donna...


    Le cheikh al Albany se dirigea vers la science du Hadith alors qu'il n'avait que 20 ans à peu près, attiré par les articles qui paraissaient dans la revue "al Manar" publiée par le cheikh Mouhammad Rachid Rida .



    Le premier travail qu'il entreprit dans le Hadith fut de recopier le livre : Al Moughni 'an haml al asfar fil asfar fi takhrij ma fil ihya minal akhbar du Hafidh al 'Iraquy avec des annotations.


    Celui qui regarde l'effort du cheikh dans ce travail est étonné par son intelligence, par ses bonnes connaissances à ce jeune âge, et l'étonnement augmente pour son assiduité pour le rangement du livre, et pour sa bonne écriture.


    Ceci fut pour lui le début d'un grand bien car il avait de plus en plus d'envie pour la science du Hadith jusqu'à que son père désapprouva sa préoccupation pour cette science et lui disait :


    " La science du Hadith est réservée à ceux qui font faillite ! ".


    Malgré tout cela, l'amour du cheikh pour le Hadith du Messager d'Allah , et la distinction de l'authentique et du faible ne faisaient qu'augmenter. Et puisqu'il vivait sous la charge de son père qui avait à sa charge une grande famille, il n'avait pas les moyens d'acheter ce qu'il lui fallait comme livres qu'il ne trouvait pas dans la bibliothèque de son père qui était pleine de livres suivant le rite Hanafite.


    C'est pour cela qu'il se dirigea vers la grande bibliothèque Adhahirya. Ceci fut un grand bienfait d'Allah sur lui car il y trouvait tout livre qu'il ne pouvait acheter, de même certaines librairies commerciales lui prêtaient des livres comme la librairie de Salim al Qouçaibany - et la librairie arabe Hachémite (al Maktaba al 'arabya al hachimya) de 'Oubeid Ikhwane.


    Son intérêt pour le Hadith et ses sciences est devenu sa grande préoccupation, jusqu'à ce qu'il lui arrivait de fermer sa boutique pour aller à la librairie Adhahirya et il y restait douze heures sans se lasser de la lecture, des annotations et de la vérification sauf pour les Salâts pour lesquelles il s'arrêtait. Et souvent il mangeait simplement dans la bibliothèque. Puis la direction de la bibliothèque décida de lui réserver une pièce pour lui seul, pour qu'il puisse faire ses recherches utiles dans la science, et aussi de lui donner la clé de la bibliothèque. Et là, pendant des années, le cheikh venait tôt le matin avant les employés qui eux retournaient chez eux à l'heure du Dhohr sans revenir, alors que lui, y restait ce qu'Allah veuille qu'il reste, et il lui arrivait de ne repartir qu'après avoir prié la Salât du 'Icha.

    Tous ceux qui le voyaient à l'époque dans la bibliothèque, savaient le degré de ses efforts et sa volonté de ne pas perdre de temps, jusqu'à que certains lui en voulaient car il était trop dans la lecture et l'écriture lorsqu'ils lui rendaient visite à la bibliothèque. Naturellement le cheikh était excusable car il ne voulait pas perdre son temps avec les longues salutations et bienvenues, il répondait aux questions qui lui étaient posées, tout en regardant dans le livre et sans relever son regard vers celui qui pose la question avec le strict minimum de mots suffisants. Parmi les fruits de ce grand effort béni, il y a eu :


    - Takhrij ahadith al bouyou' fi mawsou'ati al fiqh al islami (Recherche sur ceux qui ont rapporté les Hadiths concernant le commerce dans la jurisprudence islamique), et d'autres ouvrages que l'on verra si Allah le veut.


    - Celui qui lit l'introduction du cheikh dans Fahras makhtoutat al Hadith fil maktaba adhahirya (L'index des manuscrits du Hadith dans la bibliothèque Adhahirya), lorsqu'il parle sur la difficulté de retrouver une feuille perdue ou mal rangée, reconnaît la longue patience et l'énorme effort qu'il a entrepris pour servir la Sounnah purifiée.


    L'appel à Allah ...


    Les Hadiths du Messager d'Allah ont eu un grand effet sur la voie qu'entreprit le cheikh dans la science comme dans la pratique, et c'est comme ça que le cheikh prit la bonne voie authentique qui est de ne prendre que d'Allah et de Son Messager seulement en s'aidant de la compréhension des grands Imams parmi les pieux prédécesseurs, sans aucun fanatisme pour l'un d'entre eux, mais plutôt c'est la vérité qu'il recherchait là où elle se trouve.


    De là, il commença à contredire le Madh-hab Hanafi dans lequel il grandit. Son père s'opposait à lui durement, alors le cheikh lui démontrait qu'il n'était pas permis à un musulman de délaisser la pratique des Hadiths du Messager d'Allah alors qu'ils sont authentiques et que certains Imams les ont mis en pratique quelque soit celui qui les contredit, tout en lui expliquant aussi que ceci est la voie de l'Imam abou Hanifa ainsi que les autres imams, qu'Allah leur soit clément.


    Et c'est comme ça que les discussions ont commencé entre le cheikh al Albany et les autres savants. Il subit une grande opposition de la part de beaucoup de cheikhs fanatiques à leurs Madh-hab et des cheikhs Soufis et des charlatans innovateurs, et surtout des gens de la même origine que lui (la communauté albanaise de Damas) qui poussaient la masse contre lui en prétendant qu'il était un Wahhabite égaré et ils prévenaient les gens contre lui, alors qu'au même moment des savants connus de Damas étaient d'accord avec lui et l'ont encouragé à continuer dans son prêche. Parmi eux, il y avait le grand savant Bahjat Albaitar, le cheikh 'Abdoul Fattah al Imam, le cheikh Tawfiq al Barzah et bien d'autres, qu'Allah leur soit clément. Le Cheikh al Albany n'en avait que faire des paroles des gens et de leur opposition, mais bien au contraire ceci ne faisait que le pousser à persister sur la vraie voie. Il s'éduquait à avoir la patience et à supporter le mal (qu'on lui faisait) et ceci comme application du commandement de Louqmane à son fils comme Allah nous le cite dans Son Livre .

    Et il est véritablement comme le dit sur lui un de ses élèves : « Il est comme la pluie qui ne regarde pas sur quelle terre elle va tomber ».

    Le cheikh prit en main l'étendard du Tawhid et de la Sounnah, et visita beaucoup de savants de Damas et il y a eu entre lui et eux beaucoup de discussions sur des questions du Tawhid, l'attachement fanatique au Madh-hab et les innovations, et ceci, en compagnie du cheikh 'Abdoul Fattah al Imam qui était à l'époque le président de l'association des jeunes musulmans.

    Le cheikh donnait deux cours par semaine auxquels participaient les étudiants en religion et quelques professeurs d'université. Parmi les livres qu'il a enseignés, il y a :


    1- Fath al Majid Charh Kitab at Tawhid (commentaire du livre de l'unicité) de 'Abdour-Rahmane ibn Hassan ibn Mouhammad ibn 'Abdil Wahhab.

    2- Ar Rawda an Nadya Charh ad Dourar al Bahya.

    3- Minhaj al Islam fil Houkm (la voie de l'islam dans la façon de gouverner) de Mouhammad Assad.

    4- Ouçoul al Fiqh (les fondements de la jurisprudence) de 'Abdoul Wahhab Khallaf.

    5- Mouçtalah at Tarikh (la science de l'histoire) de Assad Roustoum.

    6- Fiqh as Sounnah (la compréhension de la Sounnah) de Sayid Sabiq.

    7- Al Ba'ith al Hathith Charh Ikhtiçar 'Ouloum al Hadith d'ibn Kathir de Ahmad Chakir.

    8- At Targhib wa at Tarhib de al Hafidh al Moundhiri.

    19- Ryad as Salihin (Les jardins des vertueux) de an Nawawy.

    10- Al Ilmam fa Ahadith al Ahkam d'ibn Daqiq al 'Id.


    Mais il n'a pas pu terminer ces deux derniers livres à cause de certains cheikhs qui se sont plaints de lui auprès des autorités et il fut emprisonné à peu près six mois. Il avait déjà connu la prison avant cela en 1967 où il y resta un mois

    Le cheikh avait des voyages mensuels organisés, au début c'était pour une semaine par mois, puis ce fut trois jours par mois. Le cheikh allait dans les grandes villes comme Halab, Idlab, Alladhiqya, Salmya, Homs, Hama, Arriqah puis des voyages vers la Jordanie avant qu'il ne décide d'y résider dernièrement. Tous ces efforts et ces voyages eurent de très bons fruits, même s'il y avait l'opposition des gens de la passion, cela ne le décourageait pas à continuer.


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    • #3

      Biographie de Cheikh Muhammed Nacer Eddine al Albani
      ..la suite
      L'enseignement à l'université Islamique de Médine...


      Avec l'aide d'Allah, , puis des efforts continus, de bons ouvrages du cheikh ont vu le jour dans les domaines du Hadith, du Fiqh, de la 'Aquida et autres qui ont montré aux savants ce qu'Allah lui avait donné comme compréhension authentique, grande science, grande compréhension du Hadith, de ses sciences, de ses narrateurs, ainsi qu'un chemin scientifique qui fait du Livre et de la Sounnah le juge et la balance dans tous les domaines, et tout ceci avec la compréhension des pieux prédécesseurs et leur voie dans l'apprentissage et du d'écoulement des règles et des lois.


      C'est cette voie qu'entreprirent beaucoup de grands savants surtout le cheikh al Islam ibn Taymiya et ses élèves, et ceux qui les ont suivis.


      Tout ceci rendit le cheikh célèbre, les savants retournaient à lui, les responsables des écoles de science reconnaissaient son degré. Ce qui poussa les responsables de l'université islamique (de Médine) lors de sa fondation, et à leur tête le cheikh et grand savant Mouhammad ibn Ibrahim &Acirc;l cheikh le président de l'université islamique à l'époque et le grand Moufti du Royaume d'Arabie Saoudite, de choisir le cheikh al Albany pour le poste de professeur du Hadith, de ses sciences et de sa compréhension à l'université.

      Le cheikh y resta trois ans, de l'année 1381h jusqu'à la fin de l'année 1383h, en enseignant le Hadith et ses sciences, et pendant cette période il était un bon exemple à suivre dans l'effort, la sincérité et la modestie. Ceci se voyait très bien dans ses assises avec les étudiants pendant les inter-classes et dans les voyages organisés par l'université. Et à cette époque, il était membre du Conseil de l'université.


      Le retour du cheikh à Damas...


      Le cheikh est retourné à Damas avec encore une plus grande volonté, et il rejoignit sa pièce qui lui était réservée dans la librairie Adhahirya, et il se remit à étudier et écrire, et il consacra tout son temps à cela. Il délaissa sa boutique (pour réparer les montres) à un de ses frères, puis à son fils après la mort de son frère . Son temps entièrement réservé à l'étude et l'écriture lui permit de présenter au monde islamique encore plus d'ouvrages utiles et de bonnes vérifications qu'on citera dans cette biographie.


      Les liens avec les savants, leur étonnement et leurs éloges à son encontre...

      Le cheikh al Albany rencontra beaucoup de savants et d'étudiants en science, et il leur apprenait des choses comme eux lui en apprenaient. Et parmi les savants qu'il a rencontrés, il y a :


      Le cheikh Mouhammad Hamid al Faqi président de Jama'at Ansar as Sounah al Mouhammadya en Egypte .

      Le grand savant Ahmad Chakir .

      Il y a eu entre eux et lui des recherches et des discussions bénéfiques dans la science.

      Le cheikh 'Abdour-Razzaq Hamza

      Le docteur et grand savant Mouhammad Taqyouddine Al Hilaly

      Le grand savant et cheikh al Hafidh Mouhammad al Joundalawy durant la période où il enseignait à l'université islamique de Médine.

      Le grand savant et cheikh Mouhammad Raghib Attabbakh .


      L'historien de Halab voulu rencontrer le cheikh al Albany, et cela s'est fait par l'intermédiaire du professeur Mouhammad Moubarak . A cette époque, le cheikh al Albany était encore tout jeune, mais le cheikh at-Tabbakh était surpris de ce qu'il entendait sur lui au sujet de sa grande volonté dans le prêche au Livre et à la Sounnah, et son étude des sciences du Hadith. Et il lui donna la permission de rapporter d'après lui ses chaînes de narration et il lui donna son livre : Al anwar al jalya fi moukhtaçar al athbat al halabya.


      Et en ce qui concerne ses relations avec son excellence le cheikh 'Abdoul 'Aziz ibn 'Abdillah ibn Baz - ,le président de la direction des recherches scientifiques de l'Ifta et du prêche en Arabie Saoudite, il y avait de très bonnes liaisons entre eux, et ils ont eu des assises et des discussions bénéfiques dans la science lors de leurs rencontres et lorsqu'ils s'écrivaient.

      Le cheikh 'Abdous-Samad Charafoud-dine un des savants de l'Inde et qui publia après vérification le premier volume de As-Sounanoul Koubra de an-Nassaï et Touhfatoul Achraf de al Mazi. Ils s'écrivaient beaucoup dans le domaine de la science, et une fois il lui écrivit :


      « Il est parvenu au Cheikh 'Oubeidoullah arRouhmani le président de l'université as-Salafya à Banars (en Inde) une question, provenant de Daroul Ifta à Ryad en Arabie Saoudite, sur un Hadith dont le texte est étrange et dont le sens est étonnant, et qui a un lien proche de notre époque. Et il y a eu unanimité des savants réunis ici pour revenir au plus grand savant de cette époque sur les Hadiths prophétiques qui est le cheikh al Albany »

      Beaucoup de savants lui ont écrit et lui ont fait savoir qu'il les impressionnait et qu'ils l'aimaient, qu'ils avaient envie de le rencontrer, surtout les savants d'Inde et du Pakistan.

      Le grand savant 'Oubeidoullah ar-Rouhmany l'auteur de: Mirqat al mafatih Charh Michkat al Maçabih.

      Le cheikh Mouhammad az-Zamzamy au Maroc qu’il a rencontré et avec qui il y eut des recherches et des discussions dans la science chez lui à Tanger. Et bien d'autres…

      Beaucoup d'étudiants retournaient à lui, et ceci même encore, durant leurs études et leurs hautes spécialisations pour les diplômes du "Doctorat" et du "Magistère" dans les sciences islamiques. Ils allaient à sa rencontre, l'écoutaient, lui écrivaient et profitaient de lui dans les sciences du Hadith et autres.

      Parmi eux, il y a le docteur Amine al Miçri , le président du département des études islamiques à l'université islamique de Médine. Et il disait clairement que le cheikh al Albany méritait plus son poste que lui et qu'il en était plus en droit. Il se considérait comme un de ses élèves, et il encourageait les étudiants à profiter de sa présence lorsqu'ils visitaient Médine.

      Ce même témoignage lui fut donné par le docteur Soubhi As-Salih, ancien professeur du Hadith et de ses sciences à l'université de Damas et à l'université libanaise aujourd'hui.

      Ainsi que le docteur Ahmad Al 'Assal, président du département de la culture et des études islamiques à l'université de Ryad.

      Le cheikh Mouhammad Taïb Oukij Al Yousnari, professeur de l'exégèse, du Hadith et du Fiqh à la faculté religieuse de l'université d'Ankara en Turquie et à l'institut islamique supérieur à Konya, lui envoya beaucoup de lettres où il y montre son étonnement pour le cheikh al Albany et où il pose certaines questions concernant la science. Parmi lesquelles, il y a cette lettre datée du 7 Cha'bane 1389h où il dit :


      « Son excellence, le grand savant et chercheur, le professeur respecté abou 'Abdir-Rahmane Mouhammad Naciroud-dine al Albany (Qu'Allah le protège de tout mal et qu'il rende ses connaissances bénéfiques pour nous), mon cher professeur respecté... Je vous félicite pour votre grande réussite dans le domaine de la science, qu'Allah augmente dans le monde islamique le nombre de gens comme vous. Et en réalité, j'aurai voulu avoir tous vos livres, c'est pour cela que je vous demanderai d'en aviser vos éditeurs pour qu'ils me les envoient à mon adresse et je vous en remercie d'avance ».

      Aussi le docteur 'Abdoul-'Ali 'Abdoul-Hamid Al A'dhamy, le professeur à la faculté des études islamiques à l'université de Beirou au Nigéria, qui lui fit de très bons éloges.

      Le professeur Ahmad Madh-har Al 'Adhama, président de l'association at-Tamaddou al Islami à Damas, qui fut impressionné de sa science et qui lui permis d'écrire dans sa revue beaucoup d'articles sans faire attention aux dires de beaucoup d'opposants. Il écrit sur lui:


      « Damas connut son plus grand Mouhaddith, le grand savant Badroud-dine al Housseiny ; et lorsqu'il mourût, la ville n'avait plus d'imam dans les sciences du Hadith vers qui les gens retourneraient, si ce n’est un jeune Arna-outy[1] qui a grandit dans la science et la piété, qui est le professeur Mouhammad Naciroud-dine (al Albany) connu parmi les jeunes pour son travail dans le Hadith et ses sciences, qui a réunit les jeunes autour de lui et fut remarqué. Il a pu avoir des élèves qui apprennent de lui du fait de sa langue arabe claire, de la douceur de ses paroles et ses bonnes discussions. »

      Aussi le grand savant Mouhammad 'Ata-oullah Hanif, auteur de At-Ta'liqat As-Salafya 'ala Sounane an-Nassa-i qui lui fit des éloges.Et aussi beaucoup d'autres savants et personnalités…


      Ses efforts dans la science, ses fonctions et ses voyages...


      Nous avons vu que le cheikh a étudié chez son père certaines sciences comme la grammaire, des livres de Fiqh Hanafi comme Moukhtaçar Al Qaddoury, et il apprit de lui le Coran entièrement avec Tajwid d'après la version de Hafs. Il étudia chez le cheikh Sa'id al Bourhany le livre Maraqi Alfalah dans le Fiqh Hanafi, le livre Choudhour adh-Dhahab dans la grammaire, et certains livres contemporains dans l'éloquence. Il assistait aux assemblées du grand Savant le cheikh Mouhammad Bahjat al Baitar avec des professeurs de al Majma' al 'Ilmi à Damas parmi lesquels 'Izzoud-dine at-Tannoukhy , ils lisaient le livre Al Hamassa de abou Tamam.

      La faculté des études religieuses de Damas le choisit pour qu'il vérifie qui a rapporté les Hadiths dans le domaine du commerce, concernant l'encyclopédie du Fiqh islamique que l'université voulait publier (en 1955).

      Il fut choisit comme Membre dans le bure.

      au du Hadith, qui fut créé à l'époque de l'union entre l'Egypte et la Syrie, pour relire et superviser la publication des livres de la Sounnah.

      L'université as-Salafya de Banars en Inde lui demanda de venir en Inde pour être le Cheikh du Hadith et il s'excusa de son refus car il était difficile pour lui d'emmener toute sa famille à cause de la guerre qui opposait l'Inde au Pakistan à cette époque.

      Le ministre de l'éducation saoudien Hassan ibn 'Abdillah &Acirc;l Cheikh lui demanda en 1388h d'être le Superviseur de la faculté des hautes études islamiques à l'université de la Mecque.

      Il fut choisit Membre du haut conseil de l'université islamique de Médine de l'année 1395h à l'année 1398h.

      Il donna une conférence importante en Espagne, suite à l'invitation de l'union des étudiants musulmans en Espagne, et qui fut publiée plus tard avec pour titre : Al Hadith Houjja binafsih fil 'Aqa-id wal Ahkam (Le Hadith est un argument en lui-même (à part entière) dans les croyances et les règles). Il visita l'émirat du Qatar et y donna une conférence avec pour titre : Manzilatou as-Sounnah fil Islam (la place de la Sounnah dans l'Islam). Il fut envoyé par la direction des recherches scientifiques, de l'Ifta et du prêche (Ryad - Arabie Saoudite) en Egypte, au Maroc et en Grande-Bretagne pour prêcher au Monothéisme et à la vraie voie islamique. Il fut invité à beaucoup de congrès. Il participa à certains et s'excusa à la plupart de ne pouvoir y participer à cause du manque de temps, vu le nombre de ses travaux dans la science. Il visita certains pays européens, il y rencontra les minorités musulmanes ainsi que les étudiants musulmans, et il y donna des cours importants.



      Les ouvrages et les travaux scientifiques...


      Le cheikh a laissé beaucoup de livres écrits par lui-même et des travaux scientifiques sur d'anciens ouvrages, dont certains ont été traduits dans d'autres langues.

      [Ici l'auteur 'Acim al Qar-youty en cita 114 et j'invite les frères et les sœurs à retourner au texte arabe pour voir les titres. Quant à son élève cheikh ‘Ali Hassan al Halaby, il en cite 218 dans son livre Ma’a cheikhina Naçir as-Sounnah wad-Dine.](Le traducteur)

      [1] Habitant de la région comprenant l’Albani et le Kosovo.

      D’après une biographie rédigée par aboul Achbal 'Acim ibn 'Abdillah al Qar-youty, Professeur à l'université islamique de Médine, le 10 Cha'bane 1405h.
      Traduit en français par : Abou 'Abdir-Rahmane 'Abdoullah Attantany
      Equipe alminhadj.com

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      • #4
        Cheikh Abu 'Abdellah Abder-Rahman ibn Nasr as-Sa'di

        [3]

        Cheikh Abu 'Abdellah Abder-Rahman ibn Nasr as-Sa'di

        Il est le cheikh Abu 'Abdellah 'Abder-Rahman ibn Nasr as-Sa'di rahimahoulah de la tribu de Banu Tamim.

        Il est né dans la ville de 'Unayza, dans la région de Qaseem, le 12 muharam de l'année 1307 de l'Hégire (1886 A.J-C). Sa mère est morte quand il avait quatre ans et son père est mort quand il en avait sept.



        Il mémorisa le coran et maîtrisât la science de la récitation avant qu' il atteigne l'age de onze ans. C'est alors qu'il s'engagea à la recherche de la science étudiant avec les savants de sa ville et ceux qui y sont passés.

        Parmis ses professeurs ont compte Cheikh Ibrahim ibn Mouhamed ibn Hassir, Cheikh Mouhamed ibn 'Abdel Karim as-Shibil, Cheikh Salih ibn 'Uthman, le juge de 'Unayza et cheikh Mouhamed as-Shanqiti, un habitant du Hijaz, et pleins d'autres encore. Quand à ceux qui ont dit qu'il a étudié avec ibn Taymiya ou bien ibn al Qayim, cela est d'une certaine manière vrai étant donné qu'il était un grand étudiant de leurs écris.

        Sa plus grande qualité fut ses bonnes manières. Il était très humble avec les personnes agées ainsi qu'avait les jeunes personnes. Il s'adressait a chaque personnes selon son niveau de compréhension et selon se qui lui est bénéfique. Il était indifférent au chose de se bas monde et au temptation de la vie. Il n'avait que faire du rang sociale, le pouvoir ou la gloire.


        Il écrit plusieurs livres parmis lesquels : Tafser al Qouran en 8 volumes, Haashiyah Fiqhiyyah, Deewaan Khutab, al-Qawaa.id al-Hisaan, Tanzeeh ad-Deen, Radd alaa al-Qaseemee, al-Haq-q al Waadhih al-Mubayyin, Bahjatu Quloob al-Abraar, ar-Riyaadh an-Naadhirah, et d'autres encore. Il vécut une vie pleine de bénédictions jusqu'à la fin de sa vie le 24 Jumada ath-thanie de l'année 1376 (1955 A.J-C).


        Traduit de l'anglais au français depuis le site :
        www.fatwa-online.com
        tiré du site: darwa.com
        Equipe alminhadj.com

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        • #5
          [4]

          Cheikh Abdu al 'Aziz Aal Cheikh
          Son nom et sa généalogie
          'Abd-l-'Azîz Ibn 'Abd-Allâh Ibn Mohammad Ibn 'Abd-l-Latif Al-Chaykh.
          Sa naissance (1362 H)

          Il naquit en 1362 H (1941) à Riyadh.

          Son apprentissage
          Il commença à rechercher la science en apprenant le Coran à la mosquée Ahmed Ibn Sanaan, et il mémorisa le Coran à l'âge de 12 ans. Il a alors cherché la science dans les assemblées de certains savants. En 1375 H (1954), il fut transféré à l'Institut de Prêche des Imams



          Sa perte de la vue (1381 H ; 19 ans)


          Depuis sa naissance il a souffert d'une faible vue, jusqu'à l'avoir perdue en 1381 H (1960).



          Son diplôme de Chari'a (1383 H ; 21 ans)


          Il fut diplomé par la faculté de Chari'a en 1383 H (1962).



          Son enseignement


          Il fut enseignant à l'Institut Scientifique de la Prêche des Imams jusqu'en 1392 H (1971). Il fut ensuite muté à la faculté de Chari'a (de l'Université de l'Imâm Mohammed) à Riyadh jusqu'en 1412 H (1991).

          Il a ensuite été membre du Conseil des Grands Savants en 1407 H (1986), à la suite de quoi, il a été membre du Conseil Permanent de la Recherche Islamique et de la Fatwa, où il a été nommé adjoint au moufti du Royaume ('Abd-l-'Azîz Ibn Bâz) en 1416 H (1995).

          Il était Imâm pour les prières du vendredi à la mosquée du Cheikh 'Abd-Allâh Ibn Abd-l-Latîf depuis 1390 H (1969), avant de devenir Imâm à la mosquée centrale de l'imâm Turkî Ibn 'Abd-Allâh en 1412 H (1991).

          Il est devenu Imâm et Prêcheur de la mosquée Namirah le jour de 'Arafat en 1402 (1982).

          Pendant qu'il était à la faculté de Chari'a, il avait l'habitude de diriger quelques thèses universitaires, et participait à des discussions/débats sur des thèses.

          Depuis 1414 H (1993), il participe au programme radio "Noûroun 'alâ Darb" en répondant aux questions.

          Il avait également l'habitude de donners des cours à la mosquée de l'Imâm Turkî Ibn 'Abd-Allah. Il participa à des séminaires et des conférences en parallèle de son travail dans le domaine de la prêche à Riyadh et Ta'if.

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          • #6
            L’Imâm ‘Abdil ‘Azeez bin ‘Abdillah bin Baaz (1330-1420H

            [05]
            L’Imâm ‘Abd el -‘Azeez ben ‘Abdellah bin Baz
            [1330-1420H]

            SON NOM ET ORIGINE

            Il était le noble et le savant exemplaire, ‘Abdul ‘Azeez bin ‘Abdillah bin ‘AbdirRahman bin Muhammad bin ‘Abdillah Aali Baaz, Qu’ ALLAH lui accorde Sa miséricorde. Les Baaz était une famille profondément ancrée dans la science, le commerce et l’agriculture. Ils étaient connus pour leurs valeurs et leurs caractères.
            Shaikh Sulayman bin Hamdann, Qu’ ALLAH lui accorde Sa miséricorde, écrit dans son livre sur la biographie des savants hanbalites : « Leur origine est de Médine, puis l’un de leurs ancêtres se déplaça à Dur’eeyah ».

            SA NAISSANCE ET SA JEUNESSE

            Il est né à Riyadh, la capitale du Najd, le 12 de Dhul Hijjah en 1330 de l’hégire. C’est là qu’il passa son enfance, son adolescence et ses premières années de l’âge adulte.

            L’imaam Ibn Baaz grandit dans un environnement favorable à la science, puisque Riyadh à cette époque, comptait beaucoup de savants et d’imaam. C’était également un lieu de sécurité et de paix depuis que le roi ‘Abdul ‘Azeez la reconquit et y établit la justice basée sur les lois de l’Islam. Ceci eut lieu après que Ryadh eut été un endroit de désordre incessant et d’instabilité.

            L’Imaam Ibn Baaz débuta par l’apprentissage du Coran comme à l’habitude des salafs qui mémorisaient le Qur’an avant d’aborder les autres sciences. Il apprit donc le Qur’an par cœur et ce avant l’âge de la puberté. Puis il étudia auprès des savants de sa région.

            IL est très important de noter que sa mère, Qu’Allah lui accorde Sa miséricorde, à joué un grand rôle dans son cheminement vers la science, puisqu’elle était celle qui l’encourageait constamment et le poussait à acquérir la science, comme il le précise vers la fin de l’une de ses conférences « Mon voyage avec les écrivains » , dans laquelle il évoque des moments de sa vie.

            L’ Imaam Ibn Baaz possédait encore la vue pendant la première partie de sa vie. Mais par la sagesse infinie d’ALLAH, Sa volonté fut que la vue de l’Imaam s’affaiblit en raison d’une maladie de l’œil en 1346 de l’Hégire, ce qui entraîna la perte totale de sa vue en l’an 1350H, et ce peu de temps avant avoir atteint l’âge de 20 ans.
            Cependant cela ne l’empêcha pas de persévérer et de s’appliquer dans la recherche de la science, qu’il poursuivit et dans laquelle il excella. De manière assez surprenante, sa cécité fut pour l’Imaam Ibn Baaz un vecteur de bienfaits, puisqu’il fut capable d’en tirer plusieurs avantages au nombre desquels nous pouvons en citer au moins quatre :

            1. La récompense d’ALLAH
            L’ Imaam AL bukhari à rapporté dans son sahih, un hadith qudsee :
            D’ après ‘Amr l’affranchi d’al Muttalib, qui se réfère à Anas ben Malik, le Messager d’ ALLAH dit : « ALLAH a dit : « Lorsque J’éprouve un de Mes serviteurs par la perte de ses deux choses qu’il aime et qu’il se résigne, Je lui donnerai en échange le Paradis. » Anas : Le Prophète voulait parler des deux yeux. N° 5653

            2. Une bonne mémorisation
            L’Imaam Ibn Baaz était le Haafidh (mémorisateur) de cette époque quant à la science du Hadeeth. Si on le questionnait sur un hadith qui se trouve dans les 6 Recueils de Hadeeths ou d’autres recueils comme le Musnad de l’Imaam Ahmad, on se rendait compte qu’il connaissait parfaitement les chaînes de transmission du hadith mot pour mot, les dires du savant sur le hadith, les narrateurs et son explication.

            3. Absence d’intérêt pour les biens matériels
            L’Imaam Ibn Baaz délaissait les plaisirs de ce bas monde, adoptant un mode vie plein d’humilité et faisant abstraction des biens matériels.

            4. Une grande détermination
            La perte de la vue a rendu l’Imaam Ibn Baaz plus déterminé et persévérant dans sa recherche d’acquisition de la science au point de devenir l’un des plus grands savants, connu à travers le monde entier. En effet ALLAH lui remplaça la lumière de ses yeux par la lumière du cœur, l’amour pour la science et l’attachement à la Sunnah du Prophète.

            SES PROFESSEURS

            Après avoir mémorisé le Quran, l’Imaam Ibn Baaz, Qu’ALLAH lui accorde Sa miséricorde, il étudia les autres sciences islamiques auprès de plusieurs savants de Riyhad, dont les plus éminents furent :

            • Shaikh Muhammad bin ‘Abdil Lateef Aali Sheikh, l’arrière- arrière petit fils de l’imaam Muhammad bin ‘Abdil Wahab
            • Shaikh Salih bin ‘Abdil ‘Azeez Aali Sheikh, l’arrière-arrière petit fils de l’imaam Muhammad bin ‘Abdil Wahab et Principale Juge de Riyadh
            • Shaikh Sa’ad bin Hamad Al ‘Ateeq, Juge de Riyadh
            • Shaikh Hamad bin Farris Vice president de la Trésorerie de Riyadh
            • Shaikh Sa’ad Waqqas Al Bukharee, faisant partie des savants de Mekka auprès de qui il appris la science du tajweed depuis 1355 de l’hégire.
            • Shaikh Muhammad bin Ibraheem Ibn Aali Sheikh, ancien Mufti du Royaume d’Arabie Saoudite. Il assista à ses cercles d’études pendant près de 10 ans, étudiant à ses côtés toutes les sciences islamiques, entre l’année 1347 et l’année 1357 de l’hégire. Ce fut à cette époque que son professeur le nomma juge.

            SON PARCOURS

            Lorsque l’Imaam Ibn Baaz fut choisi pour devenir Juge de la région de Khraj, il accepta à contrecoeur étant donné qu’il n’éprouvait aucune prédisposition pour ce type de poste, qu’il occupa malgré tout suite aux encouragements de son professeur Shaikh Muhammad bin Ibrahim Aali Shaikh, et sur ordre du Roi ‘Abdul ‘Azeez.
            Il arriva à Dalan, capitale de la région de Kharj à l’époque, où il fut accueilli chaleureusement. Dès son arrivée, il se rendit à la mosquée Centrale et pria 2 rak’at, conformément à la sunna. Puis il se reposa en présence de celui qui était l’émir de Dalan à l’époque, Naasir bin Sulayman al Huqbaannee. Peu après, la foule se rassembla autour de lui et il leur administra un prêche d’une grande intensité. Il leur dit entre autre qu’il n’avait pas désiré ce poste mais que c’était un ordre et qu’il se devait d’obéir au gouverneur.

            Dès ses débuts en tant que juge, ALLAH apporta davantage de bien par son biais et il jugeait avec justice et bonté. Il servira à ce poste durant un peu plus de 14 ans.
            Pendant cette période, la région de Kharj se transforma en un espace de bien et de justice. L’Imaam Ibn Baaz attribuera ce résultat aux cœurs bons des gens et de leur estime pour la vertu et la justice.

            Les tribunaux se trouvant à Ad-Dalam, il y élit résidence dans la demeure offerte par l’Imaam ‘Abdullah bin Faysal bin Turkee.
            L’Imaam Ibn Baaz était connu à travers le monde musulman pour ses verdicts religieux ( fatwas ) et ses livres bénéfiques.
            Il présidait plusieurs comités de séminaires d’enseignement en Arabie Saoudite, et donnait des cours par téléphone aux musulmans vivant à l’extérieur du Royaume. Il répondait aussi aux questions des gens à la radio et pendant les périodes bénies du Hajj et du Ramadan .
            Ses paroles furent également diffusées dans les journaux, magazines et articles musulmans à travers le monde.

            Bien qu’occupé dans son rôle de propagation de la da’wah et de l’instruction, il prenait également le temps pour se consacrer à l’écriture de livres et de traités sur des questions importantes, que les musulmans se devaient de connaître. Ses travaux les plus connus sont :

            L’ obligation de suivre la Sunnah
            L’attaque idéologique
            La vie et l’appel de l’Imaam Muhammad bin ‘Abdil Wahab
            3 traités sur la prière
            La croyance correcte et ce qui l’oppose
            Leçons importantes pour le commun des soumis à Allah (al muslimûne)
            Critique du nationalisme arabe
            2 essais sur le Jeûne et la Zakat
            Règles concernant les images
            Règles concernant la célébration de l’anniversaire du Prophète
            Mise en garde contre les innovations

            Il existe également beaucoup d’autres livres, qui peuvent être lus ou imprimés sur le site web officiel de l’imaam : www.binbaz.org.sa.
            Cela s’ajoute aux nombreuses fatawas, qui ont été rassemblées, compilées, publiées, réparties dans de nombreux volumes.

            SON ENSEIGNEMENT ET SES ACTIVITES RELIGIEUSES

            1) Il travailla comme juge dans la région de Kharj en Arabie Saoudite pendant 14 ans de 1357 à 1371.
            2) Il enseigna à l’institut d’enseignement de Riyadh en 1372H, et à l’établissement de Shari’ah dès sa création, enseignant notamment le Fiqh , Tawheed et les Hadeeths . Il occupa ce poste durant 9 ans jusqu’en 1380H.
            3) En 1381H, il fut nommé Vice-Recteur de l’Université Islamique de Médine, occupant cette fonction jusqu’en 1390H.
            4) C’est alors qu’il fut nommé comme recteur de l’université islamique de Médine en 1390H, suite au décès de l’ancien recteur Shaikh Muhammad Ibn Ibraheem Aali Shiekh au mois de Ramadan 1389H. Il resta à ce poste jusqu‘en 1395H.
            5) Le 10.14.1395, le roi ordonna que l’imaam Ibn Baaz soit nommé comme chef du conseil pour la recherche islamique, les fatwas, la da’wah et les conseils. Il se maintint à ce poste jusqu’en 1414H.
            6) Le 1/20/1414 le roi nomma l’imaam Ibn Baaz comme grand Mufti du royaume d’Arabie Saoudite. Il occupa ce poste en même temps que celui de chef du comité de la recherche islamique et des fatwas.

            Il occupa également les postes suivants :

            1) Chef du comité permanent pour la Recherche islamique et des fatwaas
            2) Président et membre du Comité de création de la Ligue Musulmane Mondiale.
            3) Président du Haut Conseil de La Ligue Mondiale
            4) Président du Conseil Suprême Mondiale des Mosquées
            5) Président de l’Assemblée Islamique de Fiqh à Médine
            6) Membre du Haut conseil à l’Université Islamique de Médine
            7) Membre du Comité Suprême pour la Propagation de l’Islam

            SES ETUDIANTS

            L’imaam Ibn Baaz, qu’ALLAH lui accorde Sa miséricorde, eut de nombreux étudiants qui assistaient à ses cours et à ses cercles d’études. Les plus illustres d’entre eux furent :

            Muhammad Bin Salih Al Uthaimine, ancien membre du Conseil des Grands Savants, qu’ALLAH lui accorde Sa miséricorde.
            ‘Abdullah bin Hamad Al Qu’ood, membre actuel du comité permanent pour la Recherche Islamique et de la Fatwa et du Conseil des Grands Savants
            ‘Abdul Muhsin al ‘Abbad, ancien Recteur et Vice Recteur de l’Université Islamique de Médine
            Salih Bin Fawzan Al Fawzan, membre régulier du Comité Permanent pour la Recherche Islamique et de la Fatwa et également du Conseil des Grands Savants
            Rabee’ ibn Hadee al Madkhali
            Abdul ‘azeez bin ‘Abdillah Ar Rajihee

            Ses caractéristiques physiques et son apparence

            Le shaikh, qu’ALLAH lui accorde Sa miséricorde, était de corpulence et de taille moyenne. Son visage était rond et son teint hâlé. Il avait un nez en courbe, et une barbe qui était courte sur les côtés mais épaisse sous le menton. Si à l’origine sa barbe était noire, quand des poils blancs apparurent il la teinta avec du henné.
            Il ressemblait par cela à beaucoup de ses prédécesseurs. D’apparence agréable, il portait toujours des habits blancs et avait d’amples vêtements, et des pantalons qui tombaient à la moitié de son tibia.

            SON HUMILITE ET SA PIETE

            Connaissant sa propre valeur, l’imaam se montrait très humble envers ALLAH.
            C’est pourquoi il traitait les gens de la meilleure des manières, faisant preuve de gentillesse et de clémence. Il n’offensait jamais personne et ne se montrait jamais arrogant. Il ne voulait pas donner une fausse impression de supériorité ni ne se levait pour partir quand il était en compagnie de pauvres et de nécessiteux, et ne s’abstenait pas de marcher avec eux et de les fréquenter.
            Il ne se privait jamais d’écouter les conseils de ceux qui étaient moins reconnus que lui.
            Une autre preuve de son humilité était qu’il acceptait les invitations de ses étudiants et de ses amis proches à l’occasion de leurs mariages. Il arrivait très tôt et demandait à l’un des frères présents de réciter des verset du Qur’an qu’il expliquait à chaque invité.

            SA MORT

            L’Imaam Ibn Baaz mourut un jeudi, le 27 du mois de Muharram, 1420 de l’hégire (13/05/1999) suite à un arrêt du cœur. Il avait 89 ans.
            Des millions de personnes à travers le Royaume d’Arabie Saoudite se rassemblèrent pour assister à la prière funéraire et il fut enterré dans le cimetière de Adl à Makkah.
            Les musulmans à travers le monde pleurèrent sa mort, et ce seulement quelque mois après que le monde musulman perdit un autre grand savant, l’Imaam Al Albani, qu’ALLAH leur accorde sa miséricorde.

            _________________
            SOURCE : BinBaz.Org.Sa [abrégé et ajouts par Al-Ibaanah.com]


            Produit par : Al-Ibaanah.com

            Traduit par l’équipe de sounna.com

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            • #7
              [06]


              Biographie de Cheikh Al-'Othaymin

              Son nom et sa généalogie


              Abou 'Abdillah Mouhammad Ibn Sâlih Ibn Mouhammad Al-'Othaymîn al Wahaybi at-Tamimi


              Sa naissance

              Il est né dans la ville de 'Ounayza le 27 du mois du Ramadhan béni de l'année 1347 H (1926).


              Son apprentissage

              Il a apprit et étudié le Saint Coran de son grand-père maternel, le cheikh 'Abdour-Rahmane Ibn Souleyman &Acirc;l Dâmigh -que Dieu lui fasse miséricorde-. Ensuite il est parti à la recherche de la science, a apprit l'art de l'écriture et du calcul et d'autres matières.

              Il étudia chez Mouhammad Ibn 'Abdil'Aziz al Moutawoui' le résumé de al 'Aqidah al Wassitiya du Cheikh 'Abdour-Rahmane as-Sa'di, et Minahij as-Salikin dans le Fiqh toujours du cheikh as-Sa'di et al Ajroumiyah et al alfiya.

              Il a étudié chez cheikh 'Abdour-Rahmane Ibn 'Ali Ibn 'Aoudan la science de l'héritage et le Fiqh.

              Il apprit avec Cheikh 'Abdour-Rahmane Ibn Naçir as-Sa'di, celui qui est considéré comme son premier professeur, il apprit de lui le Tawhid, le Tafsir, le Hadith, le Fiqh, les bases du Fiqh, la science de l'héritage, les sciences du Hadith, la grammaire et la conjugaison.

              Il a étudié chez le cheikh 'Abdoul'Aziz Ibn 'Abdillah Ibn Bâz -que Dieu lui fasse miséricorde-, en commençant par Sahih al Boukhari, ainsi que quelques ouvrages de cheikh al Islam Ibn Taymiya ainsi que quelques livres de Fiqh. Cheikh al 'Outhaymine a dit : « J'ai pris beaucoup de cheikh 'Abdoul'Aziz Ibn Bâz dans le domaine du Hadith, ainsi que dans le domaine des bonnes mœurs et du comportement (Akhlaq) et il était accessible aux gens ».

              En 1371h il a pris place pour enseigner à la mosquée et lorsque les instituts scientifiques de Riyad ont ouvert en l'an 1372H, il s'y est inscrit. Le cheikh a dit : « Je suis entré à l'institut scientifique en deuxième année après avoir demandé conseil à cheikh 'Ali as-Sâlihi et après avoir reçu l'autorisation de cheikh 'Abdour-Rahmane as-Sa'di -que Dieu lui fasse miséricorde-. L'institut à cette époque se divisait en deux, particulier et général, et moi j'étais dans le groupe particulier.

              Et il y avait aussi à cette époque la possibilité de « sauter une classe » c'est à dire qu'on étudiait les cours de l'année suivante pendant les vacances, ensuite on passait les examens à la rentrée, et si on y parvenait, on accédait à l'année suivante, et c'est comme cela que j'ai pu gagner des années ».

              parmi ses professeurs -en plus de ceux qu'on a cité précédemment- il y a le Mouhammad Amine ach-Chanqiti.


              Son enseignement

              Après deux années, il en est sortit et à été nommé professeur à l'institut scientifique de 'Ounayza tout en continuant d'étudier par correspondance à la faculté de Chari'a ainsi que l'apprentissage de la science auprès de cheikh 'Abdour-Rahmane as-Sa'di.

              Lorsque son Cheikh 'Abdour-Rahmane as-Sa'di -que Dieu lui fasse miséricorde- est mort on lui confia l'Imamat général de 'Ounayza, ainsi que l'enseignement dans la bibliothèque Nationale de 'Ounayza. Ensuite, il est partit enseigner à la faculté de Chari'a et Oussoul ad-Dine, annexe de l'université islamique Mouhammad Ibn Sa'oud à Qassim, Tout en étant membre du conseil des grands savants du Royaume d'Arabie Saoudite.

              Ensuite il a délivré des cours dans la sainte mosquée de la Mesque pendant plus de 35 ans. Il avait une place permanente au deuxième étage de la mosquée sacrée à la barrière de l'Ajyad.

              Son dernier cours publique a été délivré une nuit avant la célébration de 'Aîd al Fitr. Pendant ce cours, il a parlé des méthodes et règles relatives au paiement de Zakat al Fitr. Il a aussi répondu à des questions sur d'autres sujets.


              Parmi ses ouvrages

              Il -que Dieu Le Très Haut lui fasse miséricorde- est l'auteur de plus de 40 ouvrages. Il ne commença à écrire qu'à partir de l'an 1382H (1962) avec comme premier livre le résumé de al 'Aquida al Hammaouiyah.

              - Les sciences du Hadith
              - Al Oussoul fi 'Ilm al Oussoul
              - Al ghoussl wa salat
              - La mécréance de celui qui délaisse la prière
              - L'immolation de la bête
              - La 'Oumra et le Hajj
              - Fara-id (science de l'héritage)
              - Loum'at al I'tiqad
              - Le commentaire de la 'Aquida al Wasitiyah
              - La Profession de Foi des Gens de la Sunna et du Consensus
              - La purification du malade
              - L'horaire des prières
              - Soujoud as-Sahou fi Salat
              - L'obligation de la zakat sur les bijoux
              - Tafsir Ayat al Qoursi
              - Fatawa pour les femmes
              - Conseil à celui qui prêche à Dieu
              - Majmou' fatawa - La divergence entre les savants, ses causes et notre position dessus
              - Les fondements du Tafsir
              - Des questions importantes
              - Les règles concernant le mort et son lavage
              - Les fondements du Fiqh
              - Les règles de la diminution de la prière pour le voyageur
              - Tafsir des versets concernant les règles religieuses
              - Le commentaire de 'Oumdatoul Ahkam
              - Les cours et les Fatawas donnés dans la mosquée sacrée à Makkah
              - Toutes les formes d'intérêt
              - Aperçu sur la croyance islamique
              - Réponses aux questions concernant la vente et l'achat de l'or
              - La sagesse dans l'envoi des messagers
              - Le commentaire des fondements de la foi
              - Le mariage
              - 52 questions concernant les règles des menstrues dans la prière, le jeûne, le pèlerinage et la 'Oumra
              - A la lumière du Coran et de la sunna authentique
              - 60 interrogations sur les menstrues
              - Questions & Réponses concernant la prière des 2 fêtes
              - Epître sur le hijab
              - Les grands signes avant le jour du jugement

              ...Sa maladie de mort

              Cheikh al 'Outhaymine a été admis dans l'hôpital spécialisé du Roi Faissal de Jeddah où il recevait un traitement depuis ces 12 derniers jours.

              Il a été traité par une équipe de spécialistes… Il a été mis sous équipement respiratoire huit jours à l'unité de soins intensifs.

              Quand il a été admis à l'hôpital, il a été mis sur la liste de ceux à qui il ne sera pas pratiqué de réanimation cardiaque. De plus, il était trop en retard dans le traitement lorsqu'il est venu. La maladie s'était étendue dans son rein, son colon et un de ses poumons.

              Il a été dit qu'il a souffert ses derniers jours de douleurs sévères à la suite de quoi il ne pouvait plus parler. Il était aussi rapporté qu'il a refusé de prendre le traitement chimique.

              Il avait été aux &Eacute;tats-Unis pour son traitement et après son retour, il a continué à recevoir des soins médicaux.


              Sa mort 74 ans
              survenue après la prière du 'Asr le 15 Chawal 1421H, à l'hôpital spécialisé du Roi fayssal à Djeddah.


              La prière mortuaire sur lui

              Plus de 500 000 personnes ont participées à la Janaza du cheikh Mouhammad Ibn Salih al 'Outhaymine, à Makkah. Approximativement 1650 agents de la sécurité avaient été déployés à la grande mosquée et autour du cimetière al Adil à Makkah pour surveiller la grande foule.



              Son site internet


              Ibrahim al 'Outhaymine, fils du cheikh, a dit qu'il avait ordonné, qu'Internet soit utilisé pour propager le de l'Islam dans le monde : « Nous projetons de lancer un site Web du même nom très prochainement ».
              Il a ajouté que le cheikh leur avait donné des directives concernant le site Web.



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              • #8
                Cheykh Mouqbil

                [06]
                Extraits de la vie de cheikh Mouqbil-rahimahu allah

                Lorsque cheikh Mouqbil dût quitter l'Arabie Séoudite pour le Yémen il dit :
                " je pensais dans l'avion à comment j'allais faire au Yémen au sein d'une société dans laquelle les shiites ont osé leurs nids, et j'espérais rester dans les nuages (ne pa atterir), et au sein d' une société ignorante qui ne connait rien de la Sounna, mais Alaah ta'ala est avec les véridiques et les patients, et Il mettra après une difficulté une facilité."
                Ensuite, il partit pour son village à Dammaj et se mit à appeler au chemin d'Allah n'ayant personne pour le secourir à part Allah ensuite sa tribu qui le défendait, et il n'y avait à ce moment aucun étudiant.


                Une anecdote de la vie de cheikh Mouqbil :
                L'auteur du livre "rahalâte da'awiya li cheikh Mouqbil" nous raconte :
                Cheikh Mouqbil n'était pas fort dans la conduite automobile. Un jour il nous a raconté très amusé :
                "J'étais à Médine et j'avais une voiture. Derrière moi il y avait une maison et des femmes qui marchaient. Je voulu avancer mais je fit une erreur dans ma manoeuvre et je fis brutalement marche arrière à tel point que les femmes s'enfuirent avec difficulté et dirent : "il est fou.""


                Un homme est venu à cheikh Mouqbil et lui dit : "ô Cheikh ! Nous avons dans notre vallée des libyens. Par Allah ! Ils n'ont aucun bien" (ils sont pauvres). Cheikh se mit alors à pleurer et lui donna mille rial saoudien et dit : "Par Allah ! je n'ai rien d'autre." Le frère lui répondit : "Divises le en deux." Le Cheikh lui dit alors : " Non, prends tout."


                Le cheikh Abdoullah Ad Dhimmari raconte :
                "Un Vendredi, j'ai visité cheikh Mouqbil. Et qui suis je par rapport à lui ?
                Et à chacune de mes visites il aimait entendre de moi une exhortation, un sermon ou une conférence. Alors je fis exprès de n'entrer dans la mosquée que juste un peu avant la khoutba de peur qu'il m'ordonne de donner le sermon. Je me suis caché entre les étudiants et j'ai baissé la tête. il monta sur le minbar et il aperçu un de mes amis. et il savait que cette personne ne venait pas sans que je vienne. Il le regarda et ne me regarda pas. Après l'adhan, il demanda "Où est notre frère Abdoullah Ibn Outhman ?"
                Les étudiants m'avaient vu et lui dirent : "il est là !"
                j'ai insisté pour ne pas monter mais le cheikh me dit : "Ou bien tu te lèves ou bien c'est moi qui vais te lever". J'ai insisté mais en vain.
                Regardez donc la modestie du cheikh : un grand cheikh qui descend du minbar pour un petit étudiant."




                Source :
                rahalâte da'awiya li cheikh Mouqbil
                par abou ramzi nâssir ibn 'ali mouhamad al wâdi'i

                préfacé et revu par cheikh Yahya Al Hajouri



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                • #9
                  و أيضا اذا دللتم الى روابط تأكدوا بأنها تعمل و أن تكتفوا بالروابط المعروفة لعقيدتهم الصحيحة من أهل السنة و الجماعة .

                  تم إضافة الروابط وقد سقطت سهوا بالنسبة للشيخين محمد بن عبد الوهاب والشيخ عبد العزيز آل الشيخ .

                  بالنسبة للشيخ مقبل بن هادي الوادعي رحمه الله ، فقد دللناكم على المصدر الأصلي وهو عبارة عن ترجمة من كتاب رحلات دعوية للشيخ مقبل بن هادي الوادعي ومقتطفات من أقواله وفتاويه للشيخ ناصر بن علي الوادعي تقديم الشيخ يحيى الحجوري .
                  لا أملك الكتاب لأتأكد لكم من صحة هذه المقتطفات ، لكن يكفيني أنني أثق بأخواتي في الله فهن حريصات على نشر الدعوة السلفية بارك الله لهن في جهدهن ، وهذا الرابط الوسيط
                  http://www.el-ilm.net/t430-cheykh-mouqbil
                  التعديل الأخير تم بواسطة أبو محمد عادل معوضة; الساعة 24-Mar-2011, 04:34 PM.

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                  • #10
                    Cheikh Ahmad bnou Yahya An Najmî (rahimaoullah)


                    Son nom et sa lignée

                    Il est notre noble Cheikh, Al 'Allammah, Al Mouhadith, Al Faqih, l'actuel Mouftî de la région de Jâzân, le porteur du drapeau du Hadîth et de la Sounnah, le Cheikh Ahmad bnou Yahya bnou Mouhammad bnou Shabîr An Najmî des âli Shabîr des Banî Hoummad, une des tribus bien connue de la région de Jâzân.

                    Sa naissance

                    Le Cheikh est né dans le village de Najâmiyah, le 22 du mois de Shawâl 1346H et a grandi dans la maison de ses deux parents pieux d'une façon incomparable.
                    Ses parents avaient fait une demande à Allah de ne pas le charger des travaux de ce bas monde, Allah fit que ceci soit vrai.

                    Ses deux parents prenaient garde de leur enfant au point de ne pas le laisser jouer avec les enfants. A l'âge de la puberté, ils le mirent aux écoles du village où il apprit à lire et écrire. Il apprit la récitation du Cor' an dans l'école national avant la venue de Cheikh 'Abdoullah Al Qar'âwî , 3 fois et la dernière fut en 1358H quand il resta là.

                    Il lit le Coran la première fois à Cheikh 'Abdu bnou Mouhammad 'Aqîl An Najmî en 1355H. Puis à Cheikh Yahya Faqih Abassî, qui était originaire du Yemen et vient à Najâmiyah pour y rester. Notre Cheikh étudia chez lui en 1358H mais quand Cheikh 'Abdoullah Al Qar'âwî arriva à Najâmiyah il y'eut un débat entre lui et son professeur sur l'élévation d'Allah car il était 'ach'arî. Le Cheikh 'Abdoullah Al Qar'âwî le mit en défaite et il quitta la ville.

                    Son parcours dans la science

                    Après le départ de son professeur ach'arî, le Cheikh avec ses deux oncles paternels Hassan bnou Mouhammad An Najmî et Husseyn bnou Muhammad An Najmî assistaient fréquemment aux cours de Cheikh Al Qar'âwî dans la ville de Sâmitah, c'était en 1359H. En 1360H et pour être précis au mois de Safar, notre Cheikh rejoignit l'école salafi et y récita le Coran sous l'ordre de Cheikh 'Abdoullah Al Qar'âwî au Cheikh 'outhmân bnou 'outhmân Hamlî. C'était tel qu'il lui récita entièrement le Coran avec les règles de tajwid et mémorisa les livres "Touhfatul Atfâl", "Hidâyatoul Moutafîd'', "Thalathatoul ousosul", "Al Arba'in An Nawawiyah", "Al Hissâb" et il perfectionna l'art de l'écriture.

                    Il s'asseyait dans les cercles d'études que Cheikh Al Qar'âwî avaient mis là, jusqu'à ce que les jeunes étudiants partaient après la salat Ad Dhouhr. Alors, il assistait aux cercles des étudiants plus âgés dont Cheikh 'Abdoullah Al Qar'âwî était le professeur personnel. Il resta dans cette classe de la salat Ad Dhouhr jusqu'à la salat Al 'ichâ' puis il repartit avec ses deux oncles à la ville de Najâmiyah.

                    Après 4 mois, Cheikh Al Qar'âwî lui donna la permission d'assister aux cours des étudiants plus âgés. Il lit au cheikh les livres suivants: "Ar Rahabiyah" sur les lois de l'héritage, "Al Ajroumiyah" sur la grammaire arabe, "Kitabou At Tawhîd", "Bouloughoul mâram", "Al Bayqouniyah", "Noukhba oul Firkri" avec son explication "Nouzahatou Nadhri", "Moukhtassarât fi sîrah", Tasrîfoul Ghazî"," Al 'Awâmil fil nahou mâ itou", "Al Waraqât" sur les fondements de la jurisprudence , "'Aquidaotu At Tahâwiyah" avec l'explication de Cheikh 'Abdoullah Al Qar'âwî ceci avant de voir l'explication de Cheikh ibnou abil 'iz, il étudia aussi une partie du livre "Al Afiyah" d'Ibnou Mâlik et "Douraroul Bahiyah" et son explication "Ad Dararoul Madiyah" dans la jurisprudence tout deux écrits par Cheikh Ach Chawkânî. Il en est de même pour d'autres livres parmi lesquels il y'en a qui sont étudiés comme sujet assigné comme ceux précités et d'autres qui sont étudié pour la culture générale comme des traités concis ou petites épîtres ou des livres de référence qui servent pour une recherche comme "Nayloul awtâr ", " Zâdoul Mi'ad", "Nouorul Yaqîn", "Al Muwatta" et "Al oummouhât".

                    En 1362H, Cheikh 'Abdoullah Al Qar'âwî distribua des parties d'Al oummouhât (livres de hadîth) qu'il a dans sa bibliothèque à ses étudiants qui contient Sahîh al Boukharî, Sounan Abi Dawoûd, Sounan An Nessâi, Al Mouwatta de l'Imam Mâlik. Ses étudiants commencèrent à lui lire ces livres mais n'ont pas pu les terminer à cause de la sécheresse.

                    En 1364H, ils retournèrent chez lui pour le lire et ils reçurent de lui al Ijazah (autorisation religieuse) de rapporté Al oummouhat As Sita

                    En 1369H, il étudia auprès de Cheikh Ibrahîm bnou mouhammad al 'Amoudî, le juge de Sâmitah à l'époque, deux livres: "Islah al Mujtam", et le livre de fiqh de cheikh Abdourahmân As Sa'dî fait sous forme de questions-réponses intitulé "Al Ichrad ila Ma'rifatoul Ahkam"

                    Il étudia aussi chez Cheikh 'Alî bnou Cheikh 'outhmân Ziyad As Soumâlî sous l'ordre de Cheikh Al Qar'âwî, il étudia un livre de grammaire "Al 'Awâmil fi Nahwi Miât ainsi que d'autres livres de grammaire et de morphologie,conjugaison.

                    En 1384H, il assista aux cercles d'études de l'Imam, Al 'Allammah, le moufti du Royaume d'Arabie Sa'oudite Cheikh Muhammad bnou Ibrahîm âli Cheikh pendant un peu près deux mois. Dans ces cercles il prit le tafsîr d'Ibnou Jarîr at Tabari avec la récitation d'Abdulazîz Ash Shoulhoub au sujet du tafsîr. La même année, il assista aux réunions avec Cheikh AbdulAzîz bnou Bâz pendant un mois et demi environ, ses classes étaient sur As Sahîh Al Boukharî entre la prière du Maghrib et celle de l'Ichâ'.

                    Ses professeurs

                    De ce que tu as pu lire, il t'apparait que ses professeurs étaient :

                    1] Cheikh Ibrahîm bnou Mouhammad Al 'Amoudî, le juge de la ville de âamitah de son époque.
                    2] Cheikh Hâfidh bnou Ahmad Al Hakamî
                    3] Cheikh, Al 'Allammah, le da'i, le réformateur de la partie sud de l'Arabie 'Abdoullah Al Qar'âwî
                    4] Cheikh 'Abduh bnou Mouhammad Aqîl An Najmî
                    5] Cheikh 'outhmân bnou 'outhmân Al Hamlî
                    6] Cheikh 'Alî bnou 'outhmân Ziyâd As Somalî
                    7] Cheikh Mouhammad bnou Ibrahîm &#194;li Cheikh, le Moufti du Royaume de sa'oudi de l'époque.
                    8] Cheikh Yahya Faqih 'Abassî Al Yamanî

                    Ses étudiants

                    Notre Cheikh qu'Allah le préserve a eu beaucoup d'étudiants. Celui qui veut passer le nombre d'année qu'il a passé dans l'enseignement devra passer au moins la moitié d'un siècle. Il est compréhensible qu'il a eu beaucoup d'étudiants et cela nécessiterait des livres pour les répertorier, toujours est-il que j'en citerai quelques uns pour te donner une idée et pour chercher les autres:

                    1] Notre Cheikh, Al 'Allammah, le mouhadith le défenseur de la Sounnah Rabe' bnou Hadî AL Madkhalî.
                    2] Notre Cheikh al'allammah, Zeyd bnou Mouhammad bnou hadî Al MAdkhalî.
                    3] Notre Cheikh le savant l'excellent 'Ali bnou Naçer Al Faqîhî.

                    Il est suffisant de citer ces 3 noms car ils sont répandus parmi les cercles de science et personne ne pourra nous blâmer d'avoir agît ainsi.

                    Ses aptitudes et Son Intelligence

                    Le Cheikh a un très haut niveau d'intelligence et l'histoire qui suit n'est qu'un exemple de son intelligence et de sa bonne mémoire depuis qu'il est enfant :

                    L'oncle, Cheikh 'oumar bnou Ahmad Jardî Al Madkhalî dit :

                    "Quand Cheikh Ahmad voulait assister au cours de l'école salafi de Sâmitah avec ses deux oncles Hassan An Najmî et Husseyn An Najmî, il assistait aux cours des étudiants plus âgés en 1359H , alors qu'il n'avait que 13 ans, il voulait assister aux cours de Cheikh 'Abdoullah Al Qar'âwî avec les étudiants plus âgés et les mémoriser". C'est pour çà que Cheikh 'Abdoullah Al Qar'âwî l'a laissé assister aux cours des plus âgés pour l'enseigner de ce qu' il voyait chez lui comme supériorité, rapidité,mémorisation intelligence.

                    Ses travaux

                    Notre Cheikh, qu'Allah le préserve, a travaillé dans l'école de cheikh 'Abdoullah Al Qar'âwî comme volontaire. Et quand sa position commençait à être payé, il eut le poste de professeurs dans sa ville An Najâmiyah c'était en 1367H. En 1372H, il fut transféré comme Imam et professeur dans la ville d'Abou Soubaylah Balhourath.

                    Le 1/1/1374H, suite à l'ouverture de l'université éducationnelle de Sâmitah, il fut assigné là bas comme enseignant jusqu'en 1384H. Il resta à ce poste avec l'espoir d'être professeur à l'Université de Médine, il partit jusque là mais les circonstances ont fait qu'il revient à Sâmitah et Allah décréta qu'il soit guide au Ministère de la Justice d'Al Jâzân en conseillant les gens de la meilleure des manières.

                    Le 1/7/1387 Il retourna enseigner à l'Institut éducationnel du district sur sa demande. En 1389H au début de l'année il partit pour l'Institut de Sâmitah où il y enseigna jusqu'à son départ en 1410H

                    Depuis ce moment, jusqu'au moment où j'écris ces lignes, il alterne entre l'enseignement chez lui, à la mosquée, dans d'autres mosquées du district tout en tenant ses classes et répondant aux questions.

                    Il fait tout ceci conformément aux conseils finals de son Cheikh qui lui conseilla de passer son temps dans l'enseignement et de faire attention aux élèves et particulièrement ceux qui ont quitté leur famille pour étudier. Il patienta beaucoup dans cela, qu 'Allah lui fasse miséricorde.

                    Il suivit aussi le conseil final de son professeur 'Abdoullah Al Qar'âwî qui est de continuer à étudier et à prendre la science des autres. Principalement dans les matières de Hadîth et de Fiqh à un point tel qu'il surpassait ses collègues. Qu'Allah bénisse sa vie et sa science et nous fasse profiter de ses efforts.

                    Les traces de sa science (Ses livres qu'il a écrits)

                    Notre cheikh qu'Allah lui fasse miséricorde a écrit beaucoup de livres, certains d'entre eux sont édités d'autres pas, nous demandons à Allah de faciliter leur édition pour que le bénéfice soit atteint.

                    Parmi ses livres il y'a :

                    1] Awdahoul Ishârati fi Radi 'ala man abâha al mamnou' min ziyârah
                    2] Ta, sisoul Ahkâm Sharhou oumdatoul Ahkâm Une petite partie a été éditée
                    3] Tanzihu Ash shari'ah 'an Ibâhatil Aghâni al khali'ah
                    4] Rissâlatoul Irshâd ila Bayânoul Haqq fi houkmil Jihâd
                    5] Rissalatun fi hukmil Jahril bil basmalah
                    6] Fathou Rabboul Wadoud fil fatâwâ war Roudoud
                    7] Al mawrid Al Adh'b az zilal fimâ intaqada 'ala ba'adil manâhij ad da'awiyah minal 'aqâ'id wal a'mâl.

                    Et il a encore beaucoup d'autres livres qu'il a présenté aux Musulmans qui sont bénéfiques, qu'Allah le récompense de la meilleure des récompenses et fasse bénéficier l'Islam et les Musulmans à travers lui. Que les prières et les salutations soient sur notre Prophète, sa famille et ses compagnons.


                    Ecrit par le savant Cheikh Mouhammad bnou hadi al madkhalî professeur dans le hadith à l'université islamique de la ville de Médine.
                    التعديل الأخير تم بواسطة أم عبد الرحمن الهاشمية; الساعة 13-Feb-2012, 02:10 PM.

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